Alors même que tout le monde s'accorde à dire que l'interprétation vers sa langue maternelle est toujours de qualité supérieure à l'interprétation vers une langue acquise, une forte proportion des interprètes français/LSF, dont la langue maternelle est majoritairement le français, préfère travailler vers la LSF. Dans cet ouvrage, Fabienne Jacquy tente de cerner les raisons de cette préférence massive : serait-elle propre aux langues des signes ? Ou est-elle spécifique aux interprètes en langue des signes française ? Cet ouvrage intéressera tout particulièrement les élèves interprètes, mais aussi toute personne curieuse de ce sujet.