La traduction littéraire vers l'arabe est demeurée interminablement une traduction « ethnocentrique », aussi bien dans son économie que dans son enthousiaste. Dans al Fadîla d'al-Manfaloûti, il s'agit d'une version « arabisée » de Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre. Nous pouvons noter que dès la première lecture de cette traduction, quelque chose manque ; une forme suffisamment tendue, due à une différence de système et de langue.