Les cellules solaires à couches minces ont le potentiel de contribuer de manière importante à la demande énergétique mondiale d'ici le milieu du 21e siècle. Les cellules solaires à couches minces, qui ont atteint un rendement de laboratoire proche de 20 %, sont très attrayantes car leur bande interdite est proche de la valeur optimale, leur polycristallinité ne nuit pas de manière significative à leurs performances et le large choix de partenaires d'hétérojonction disponibles offre des degrés de liberté supplémentaires pour optimiser leurs performances. Cette recherche vise à améliorer l'efficacité des cellules solaires à couche mince en étudiant les propriétés qui y sont liées. Le niveau de complexité impliqué est largement prohibitif pour le traitement analytique et donc les approches numériques sont principalement utilisées. L'optimisation est réalisée avec MATLAB et d'autres logiciels comme ORIGIN, WINDIG, etc.