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Cette étude de recherche-action a examiné comment la stratégie de discussion peut être utilisée pour améliorer la communication orale des apprenants dans une salle de classe du secondaire de niveau II à Dar es Salaam. Les méthodes de collecte de données utilisées étaient des entretiens, des observations en classe, des conversations réfléchies et des analyses documentaires. Les résultats suggèrent que la discussion augmente la qualité et la quantité des interactions orales, facilite l'apprentissage de nouveaux mots et crée un climat affectif positif dans la classe. Toutefois, pour que ces…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude de recherche-action a examiné comment la stratégie de discussion peut être utilisée pour améliorer la communication orale des apprenants dans une salle de classe du secondaire de niveau II à Dar es Salaam. Les méthodes de collecte de données utilisées étaient des entretiens, des observations en classe, des conversations réfléchies et des analyses documentaires. Les résultats suggèrent que la discussion augmente la qualité et la quantité des interactions orales, facilite l'apprentissage de nouveaux mots et crée un climat affectif positif dans la classe. Toutefois, pour que ces avantages se concrétisent, le rôle de l'enseignant est essentiel pour fixer des tâches claires, fournir des occasions de parler et assurer un climat de classe sûr et encourageant. En outre, la vaste base de connaissances et les compétences pédagogiques de l'enseignant facilitent la facilitation de discussions efficaces. Bien que la communication orale des apprenants ait été améliorée, la langue dominante utilisée à l'école, le kiswahili, a encore une incidence sur la quantité d'anglais parlé en dehors de la classe. Les recommandations et les implications pour la pratique de la deuxième langue en classe, traditionnellement dominée par le discours de l'enseignant, sont discutées.
Autorenporträt
Teresa Akinyi Okoth es profesora en la Universidad Masinde Muliro de Kenya, en el Departamento de Enseñanza de Lenguas y Literatura. Se graduó en la Universidad Moi (Kenya) y en el Instituto de Desarrollo Educativo de la Universidad Aga Khan (Dar es Salaam). Actualmente, está realizando un doctorado en la UNISA y está interesada en la investigación sobre la formación de profesores.