Le manque de soutien réel de la part des autorités locales et des ministères concernés par cette ressource, ainsi que le manque d'intérêt de la part des habitants de la zone, ont rendu la situation bien pire qu'un estuaire pollué, car elle a parfois entraîné l'inondation de la population de Same pendant la saison des pluies, ainsi qu'en période de sécheresse, avec des problèmes de santé (problèmes respiratoires et cutanés). Périodiquement, pour une solution palliative, des mingas ont été réalisées avec l'aide exclusive des habitants du secteur, mais il s'agit d'une solution transitoire, qui n'est pas celle qui contribuerait à quelque chose de plus énergique.