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Toute action visant à réduire la vulnérabilité socio-économique doit commencer par son diagnostic pour en déterminer les causes et les dimensions. Ainsi, à travers cette étude, les causes de la vulnérabilité socio-économique des ménages de la province de Ngozi ont été identifiées. En effet, les terres arables sont très rares et l'accès à cette ressource est devenu problématique. La taille moyenne d'une exploitation est d'à peu près 56 ares. Chaque personne vit au dépend d'une superficie de 9 ares en moyenne alors que le minimum acceptable pour la survie d'un individu est de 20 ares dans les…mehr

Produktbeschreibung
Toute action visant à réduire la vulnérabilité socio-économique doit commencer par son diagnostic pour en déterminer les causes et les dimensions. Ainsi, à travers cette étude, les causes de la vulnérabilité socio-économique des ménages de la province de Ngozi ont été identifiées. En effet, les terres arables sont très rares et l'accès à cette ressource est devenu problématique. La taille moyenne d'une exploitation est d'à peu près 56 ares. Chaque personne vit au dépend d'une superficie de 9 ares en moyenne alors que le minimum acceptable pour la survie d'un individu est de 20 ares dans les conditions du milieu étudié. Le système de production a été compromis et ne permet plus de revenu suffisant aux ménages ruraux. Ces derniers continuent de s'appauvrir davantage car ils sont d'abord vulnérables à toute forme d'aléas et leurs stratégies de survie hypothèquent d'office leur avenir en les contraignant dans un état de dépendance perpétuelle. En plus, l'insuffisance des infrastructures, du personnel et du matériel couplée à la pauvreté grandissante limitent l'accès des ménages aux services sociaux de base comme le logement décent, l'éducation et les soins de santé.
Autorenporträt
Niragira Sanctus wurde 1977 in Ngozi, Burundi, geboren. Er studierte von 2002 bis 2007 Agrarwissenschaften an der Universität von Burundi. Sein Postgraduiertenstudium absolvierte er von 2009 bis 2016 an der Universität Gent in Belgien. Seit 2016 ist er Doktor-Ingenieur für Ernährung und ländliche Entwicklung und lehrt an der Universität von Burundi.