Ce livre fournit une image globale de la contribution du secteur forestier à la sécurité alimentaire au Népal. Les programmes d'amélioration des moyens de subsistance sont rationalisés par les plans périodiques nationaux, les politiques du secteur forestier et le cadre juridique, et soutenus par des projets ingénieux. La méthode de classement du bien-être est largement utilisée pour identifier et sélectionner les ménages les plus pauvres dans la foresterie communautaire et la foresterie à bail par le biais d'une méthode participative. Ainsi, les ménages pauvres et les plus marginalisés sont ciblés. De même, l'approche de groupe prévaut afin de fournir des biens, des services et un développement des capacités qui ont été fédérés à un niveau plus élevé, y compris au niveau national, comme le FECOFUN dans la foresterie communautaire, le conseil de la zone tampon dans les zones protégées, l'intergroupe et les coopératives dans la foresterie à bail. L'attribution de ressources forestières productives aux ménages les plus pauvres avec une période à long terme sur le concept de bail est une autre approche de la foresterie à bail, de la foresterie communautaire et du développement de la foresterie publique. L'allocation des fonds publics est rationalisée par le cadre juridique, comme l'allocation de 35 % des fonds dans les revenus des forêts communautaires ou le partage des revenus à hauteur de 30 à 50 %.