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Cette étude s'appuie sur la dispute enseignante en Argentine entre 1984 et 1999. Au cours de la période, la dispute nationale émerge à trois moments: le moment corporatif, le moment parlementaire et le moment de contestation dans la rue. Le premier objectif du travail est une analyse pragmatique des modalités des arrêts. Nous posons l'hypothèse que ces arrêts ont une correspondance avec les situations des disputes. Chaque situation engage un éventail d'arrêts possibles. Nous examinons trois situations typiques: une négociation collective, une discussion parlamentaire et une contestation…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude s'appuie sur la dispute enseignante en Argentine entre 1984 et 1999. Au cours de la période, la dispute nationale émerge à trois moments: le moment corporatif, le moment parlementaire et le moment de contestation dans la rue. Le premier objectif du travail est une analyse pragmatique des modalités des arrêts. Nous posons l'hypothèse que ces arrêts ont une correspondance avec les situations des disputes. Chaque situation engage un éventail d'arrêts possibles. Nous examinons trois situations typiques: une négociation collective, une discussion parlamentaire et une contestation publique. Nous analysons quels types d'arrêts correspondent à chaque situation, aussi quel type d'arrêt s'impose à chaque moment de la dispute enseignante. Le deuxième objectif concerne l'analyse de la réouverture. Nous partons de l'hypothèse que son scénario a un lien étroit avec le dernier arrêt. Dans ce sens, l'arrêt fixe un éventail de compétences de personnes et de disponibilité de dispositifs. Pour comprendre la réouverture, cet état de personnes et de choses demeure essentiel. Enfin, à chaque période de la dispute enseignante, nous retraçons les liens entre le dernier arrêt et sa réouverture
Autorenporträt
L¿auteur a réalisé un Doctorat et un Master en Sociologie (EHESS, Paris). Il a publié plusieurs livres en francais (« Contester en infériorité », L¿Harmattan, Paris, 2006) et en espagnol (« Tomar la palabra », Prometeo, Buenos Aires, 2005). Il travaille actuellement comme chercheur au CONICET (Argentine).