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Au milieu du XXe siècle, soit au cours du passage de la société traditionnelle au monde contemporain, l'Ontario français a connu une rupture définitive dans son organisation sociale. C'est à ce moment que les Franco-Ontariens mettent sur pied un réseau unique de centres culturels, véritables foyers d'intégration d'une collectivité éclatée. Existe-t-il un lien entre ces deux phénomènes ? Pour répondre à cette question, Diane Farmer décrit les mécanismes de maintien et de transformation de l'identité franco-ontarienne en soulignant le rôle primordial du centre culturel dans ce processus. Elle…mehr

Produktbeschreibung
Au milieu du XXe siècle, soit au cours du passage de la société traditionnelle au monde contemporain, l'Ontario français a connu une rupture définitive dans son organisation sociale. C'est à ce moment que les Franco-Ontariens mettent sur pied un réseau unique de centres culturels, véritables foyers d'intégration d'une collectivité éclatée. Existe-t-il un lien entre ces deux phénomènes ? Pour répondre à cette question, Diane Farmer décrit les mécanismes de maintien et de transformation de l'identité franco-ontarienne en soulignant le rôle primordial du centre culturel dans ce processus. Elle analyse l'émergence et le fonctionnement de quatre centres culturels de l'Est et du Nord-Est, de même que la dynamique communautaire dans laquelle chacun inscrit son action. Cette étude lui permet de préciser les éléments qui assurent la cohésion du groupe et de cerner dans quelle mesure il y a création d'un espace francophone en Ontario. Publié en français
Autorenporträt
Diane Farmer est professeure agrégée au département de Social Justice Education. Elle est sociologue et spécialiste des domaines de l'éducation et de l'étude des francophonies minoritaires au Canada. Ses recherches portent actuellement sur la socialisation, en lien avec les contextes de mobilité et de migration au sein de l'espace scolaire et la problématique sous-jacente des inégalités. Elle s'intéresse aux représentations sociales et, notamment, au regard que posent les jeunes sur l'éducation, d'abord, et sur leur propre individualité, plus largement. Elle a étudié auparavant la question du développement communautaire francophone en milieu urbain, et l'évolution du mouvement des centres culturels en Ontario, en reconstruisant le jeu des acteurs à l'intérieur de portraits monographiques. Elle a aussi suivi le développement des services en français durant les années 1990, dans le domaine des politiques linguistiques, de l'éducation et de la santé.