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L'important potentiel des forêts tropicales pour l'atténuation du changement climatique a conduit à la création, en 2005, du mécanisme de Réduction des Emissions liées à la Déforestation et la Dégradation des forêts (REDD+). Alors que ce mécanisme tarde à se mettre en place au niveau national, du fait de barrières financières et techniques notamment, on observe en 2015 plus de 300 'projets REDD+'. A quoi correspondent ces projets et comment sont-ils mis en oeuvre ? La crainte que ces projets aboutissent à un sacrifice des bénéfices locaux au nom du bénéfice climatique est-elle fondée ? Cette…mehr

Produktbeschreibung
L'important potentiel des forêts tropicales pour l'atténuation du changement climatique a conduit à la création, en 2005, du mécanisme de Réduction des Emissions liées à la Déforestation et la Dégradation des forêts (REDD+). Alors que ce mécanisme tarde à se mettre en place au niveau national, du fait de barrières financières et techniques notamment, on observe en 2015 plus de 300 'projets REDD+'. A quoi correspondent ces projets et comment sont-ils mis en oeuvre ? La crainte que ces projets aboutissent à un sacrifice des bénéfices locaux au nom du bénéfice climatique est-elle fondée ? Cette thèse propose d'abord de dresser un panorama global des projets REDD+. Elle se penche ensuite sur le cas du Brésil, acteur majeur dans la lutte contre la déforestation, avec une analyse de la place des projets REDD+ dans la politique environnementale du pays, et une évaluation de l'impact d'un projet pilote. Le cas des projets connectés aux marchés volontaires du carbone est ensuite étudié, suivi d'une discussion sur les perspectives d'évolution des projets REDD+ dans le paysage post-COP 21. Ce livre s'adresse à tout type de lecteur souhaitant améliorer sa compréhension des projets REDD+.
Autorenporträt
Gabriela Simonet, doctorante en économie à la Chaire Economie du Climat (Paris-Dauphine) et au CIRAD (Centre International de Recherche en Agronomie et Développement), titulaire d'un diplôme d'ingénieur agronome à l'AgroParisTech et d'un master en Economie de l'Environnement.