Bien étrange l'entremêlement du fini et de l'infini... Comment, en effet, concilier qu'un petit enfant dessine sur sa petite paume un petit cercle et... ce nombre qui ne finit pas, pi ; angoissant. Or, tant que le cercle est fermé il est tel qu'il le voit... fini ; sa longueur ; 2piR ; mais s'il le défaisait... jamais il ne pourra mesurer toute sa longueur... quelque chose se volatilisera... On ne sait d'où sort que tout périmètre fini divisé par tout diamètre fini donne ce nombre qui ne finit pas ; pi. Autrement dit, l'infini tenait dans la paume de l'enfant. L'infini n'est pas de ce monde. Et quand on trouve que la lumière est seule capable de se mouvoir à cette vitesse-là et que si un objet la suivait sa masse deviendrait infinie c'est seulement parce que la lumière ne parcourt aucun espace et que l'objet massif vient de souffler toute son énergie cinétique et qu'il est revenu au repos. En effet, quand un objet ne peut plus être accéléré tant sa masse est devenue colossale... infinie... c'est juste qu'il n'est plus accéléré... il est alors au repos (m(v,c)=m(v,o)). Tout comme les séismes... ils ne sont pas de ce monde ; quelque chose de sidérant les fait arriver de l'espace.
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