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Le débat entre afro-pessimisme et afro-optimisme laisse, à chacun son propre diagnostic et pronostic. Et les choix sont parfois bien radicaux. La question que pose cette réflexion est plutôt originale. Alors, qui peut donc sauver l'Afrique ? Si on est afro-pessimiste, il est clair qu'on déclare qu'aucun Dieu ne peut sauver l'Afrique.Face aux pessimistes, il est bien difficile d'avoir raison. Quand ce ne sont pas les épidémies, ce sont les guerres, les crises politiques, les catastrophes, qui viennent condamner l'Afrique à un éternel recommencement. Les africains sont ainsi permanemment nourris…mehr

Produktbeschreibung
Le débat entre afro-pessimisme et afro-optimisme laisse, à chacun son propre diagnostic et pronostic. Et les choix sont parfois bien radicaux. La question que pose cette réflexion est plutôt originale. Alors, qui peut donc sauver l'Afrique ? Si on est afro-pessimiste, il est clair qu'on déclare qu'aucun Dieu ne peut sauver l'Afrique.Face aux pessimistes, il est bien difficile d'avoir raison. Quand ce ne sont pas les épidémies, ce sont les guerres, les crises politiques, les catastrophes, qui viennent condamner l'Afrique à un éternel recommencement. Les africains sont ainsi permanemment nourris d'espoirs, et d'une génération à l'autre, rien ne change. C'est pour cela que l'auteur de ce récit pense qu'il n'y a qu'un Dieu pour sauver l'Afrique, mieux, qu'il n'y a que Dieu pour sauver l'Afrique. L'Occident et ses structures de violence légales, n'ont pas eu la volonté de laisser l'Afrique grandir. Il vient depuis en sauveur et ne sauve rien. C'est pourquoi les gens ont affirmé avec certitude ces derniers temps que l'ONU et ses structures est un échec.
Autorenporträt
Prêtre, Docteur en Théologie Morale (Alphonsianum Roma), l'Abbé André Marie Kengne est un chercheur passionné en Ethique au sens le plus fondamental du terme. Il a enseigné pendant dix ans au Grand Séminaire Douala, à l'Université Catholique Saint Jérôme de Douala, Recteur de l'Institut Catholique de Bafoussam, aujourd'hui vicaire paroissial Mbouda.