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Tout a commencé par un simple appel téléphonique. Ce jour-là, alors que je discutais avec un cousin au sujet d'un terrain familial au Cameroun, je ne savais pas que cette conversation serait le catalyseur de ma descente aux enfers. Mon cousin, dans un accès de colère, a commencé à me reprocher de ne pas m'impliquer davantage dans cette affaire. Ses paroles étaient comme des flèches, perçant mon esprit déjà affaibli.Au fur et à mesure que notre conversation avançait, une pression intense monta en moi. Mes mains se mirent à trembler, ma tête commença à tourner. Puis, tout à coup, je ressentis une douleur aiguë dans ma poitrine. À ce moment-là, je n'avais aucune idée que j'étais en train de vivre un AVC. Les heures qui suivirent furent marquées par la panique, alors que je luttais pour contacter les secours.J'ai appelé les pompiers et attendu pendant trois longues heures. Chaque minute était une éternité, la peur me rongeait. Lorsque l'ambulance arriva enfin, j'étais déjà au bord du gouffre, submergé par l'angoisse et la douleur. À l'hôpital, l'urgence était palpable, et je n'arrivais pas à voir la lumière au bout du tunnel. Mon esprit était un tourbillon de pensées, de regrets