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Ce conte - cette cynofiction - est une réflexion sur l'amour et sur la pertinence de la fidélité en la mémoire de l'être aimé : fidélité de l'autre, sans doute, mais aussi, et peut-être surtout, intime fidélité à notre amour lui-même, fidélité à ce que l'on éprouve de son côté, quand la rancoeur, en soi, se tient en embuscade. Il dit ainsi comment le sentiment d'amour en certains cas transcende et terrasse ce monstre qu'on nomme " jalousie ", et qu'on nourrit soi-même à force de solitude et d'incompréhension, comme l'on s'exaspère dans la captivité. Et en cela, de fait, il décrit également…mehr

Produktbeschreibung
Ce conte - cette cynofiction - est une réflexion sur l'amour et sur la pertinence de la fidélité en la mémoire de l'être aimé : fidélité de l'autre, sans doute, mais aussi, et peut-être surtout, intime fidélité à notre amour lui-même, fidélité à ce que l'on éprouve de son côté, quand la rancoeur, en soi, se tient en embuscade. Il dit ainsi comment le sentiment d'amour en certains cas transcende et terrasse ce monstre qu'on nomme " jalousie ", et qu'on nourrit soi-même à force de solitude et d'incompréhension, comme l'on s'exaspère dans la captivité. Et en cela, de fait, il décrit également comment l'amour peut faire, d'un être bien ordinaire et qui en est l'objet ou l'être aimant lui-même, un être d'exception. Le royaume dont il s'agit ici est donc, inépuisable filon de l'âme, celui du véritable amour, de cet amour qui transfigure, et qui, au plus profond de nous, là où nous sommes plus que jamais nous-même, s'inaugure et prospère sous l'infaillible égide du pardon.
Autorenporträt
Né à Nîmes, j'ai principalement vécu dans le sud de la France. C'est toutefois dans la ville de Lyon, où remontent mes tout premiers souvenirs, que j'appris à parler la langue qu'aujourd'hui je me plais à écrire. À Paris, où il m'arriva jadis d'étudier la musique, j'offris de bonne grâce trois de mes plus belles années. Une tendresse particulière pour les langues étrangères me conduisit aussi à longuement séjourner dans ces contrées lointaines qui ont pour nom l'Allemagne, l'Espagne, puis l'Irlande. De l'arabe, du russe, ainsi que du Portugais, dont j'aime la beauté et aux grammaticaux atours desquels je me suis frotté, je ne fus hélas jamais un chevronné locuteur. Des arts de toute époque et de tout horizon, et plus généralement, pour fouler sans orgueil des terres moins familières, de ce que l'on appelle « les sciences humaines », mille choses m'émerveillent.