L'étude a concerné 616 ménages dont 592 soit 96,1% consomment les bouillons culinaires avec une consommation journalière de deux bouillons dans 42,7% des ménages. L'étude a constaté aussi que 24 ménages soit 3,9% ont arrêtés de consommer les bouillons pour des raisons d'ordre sanitaires.L'infertilité primaire était présente dans 53 ménages soit 9% et l'infertilité secondaire dans 30 ménages soit 5,1% des consommateurs. Certaines maladies métaboliques notamment le HTA, le diabète et l'ulcère gastrique sont présentent dans 474 ménages consommateurs soit 76,9%. Le glutamate monosodique, un exhausteur de gout, est présent dans les bouillons culinaires pour produire le gout umami ; cette substance a fait l'objet de plusieurs études controversées sur les animaux de laboratoire. D'autres études toxicologiques seraient nécessaires pour conclure l'innocuité des bouillons culinaires.