Candide - Voltaire
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suivi de L'Histoire des voyages de Scarmentado et de Poème sur le désastre de LisbonneCandide nous conte les mésaventures d'un voyageur philosophe qui affronte les horreurs de la guerre et les sanglants caprices de la Nature ; qui connaît les désillusions de l'amour et découvre les turpitudes de ses semblables, faisant à l'occasion l'expérience de leurs dangereuses fantaisies. Pourtant si l'homme est un bien méchant animal et si l'existence n'est qu'une cascade de catastrophes, est-ce une raison pour que le héros perde sa sérénité et le récit son allégresse ? Sous la forme d'une ironique…mehr

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Produktbeschreibung
suivi de L'Histoire des voyages de Scarmentado et de Poème sur le désastre de LisbonneCandide nous conte les mésaventures d'un voyageur philosophe qui affronte les horreurs de la guerre et les sanglants caprices de la Nature ; qui connaît les désillusions de l'amour et découvre les turpitudes de ses semblables, faisant à l'occasion l'expérience de leurs dangereuses fantaisies. Pourtant si l'homme est un bien méchant animal et si l'existence n'est qu'une cascade de catastrophes, est-ce une raison pour que le héros perde sa sérénité et le récit son allégresse ? Sous la forme d'une ironique fiction, Candide propose une réflexion souriante sur l'omniprésence de la déraison qui puise sa force aux sources vives d'une expérience humaine, celle de l'auteur. Candide, on l'a dit, ce sont les " Confessions " de Voltaire, et c'est en cela qu'il nous émeut.Mais ce " roman d'apprentissage " est aussi - et peut-être surtout - un festival merveilleusement ordonné de drôlerie et de fantaisie sarcastique, ruisselant d'un immense savoir maîtrisé qui ne dédaigne jamais de porter le rire jusqu'au sublime. C'est en cela qu'il nous éblouit et qu'il nous charme.Edition de Sylviane Léoni.
Autorenporträt
Voltaire, eig. François-Marie Arouet, geb. 1694 in Paris, besuchte dort das Jesuitenkolleg Louis-le-Grand und fand nach Abschluß seines Studiums bald Zugang zu aristokratischen freidenkerischen Kreisen. 1717 brachte ihm eine Satire auf Ludwig XIV. ein Jahr Haft in der Bastille ein. Später mußte er seines Freidenkertums und seiner aufklärerischen Schriften wegen mehrfach Paris verlassen. In England und auf dem Schloß einer Freundin in der Champagne fand er Asyl. 1750 folgte er einer Einladung an den Hof Friedrich des Großen, wurde aber drei Jahre später in Ungnade wieder entlassen. Er starb 1778 in Paris.