« Depuis que le vers est devenu pervers/Je n'écris plus ; la poésie, je la chante/J'enterre les règles dans le cimetière/De mon inspiration que la liberté hante. » Telle est salvatrice la poésie chantée par Elaz Ndongo Thioye dans sa quête Majuscule avant que le peseur d'âmes n'en trie « 21 grammes » sur le volet. Et dans cette approche eschatologique, si la poésie est sacrée, elle est au poète ce que la prière est au fidèle. Ainsi, à plus d'un titre, quoi de mieux dans un syncrétisme d'époque qu'une poésie symbolique empreinte d'une certaine sagesse philosophique, voire mystique ?
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