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Malgré toutes les informations et les rapports des médias sur les abus et le non signalement des femmes, il semble y avoir un taux élevé de violence domestique, selon les rapports obtenus au centre de soutien aux femmes de Masonwabisane à Butterworth, dans le Cap-Oriental. Selon le directeur général du centre susmentionné, vingt (20) victimes se présentent chaque jour au centre. Probablement en raison de croyances culturelles et religieuses, la violence n'est pas toujours signalée ou évoquée. C'est dans ce contexte que le chercheur a voulu mener cette étude. Examen des caractéristiques des…mehr

Produktbeschreibung
Malgré toutes les informations et les rapports des médias sur les abus et le non signalement des femmes, il semble y avoir un taux élevé de violence domestique, selon les rapports obtenus au centre de soutien aux femmes de Masonwabisane à Butterworth, dans le Cap-Oriental. Selon le directeur général du centre susmentionné, vingt (20) victimes se présentent chaque jour au centre. Probablement en raison de croyances culturelles et religieuses, la violence n'est pas toujours signalée ou évoquée. C'est dans ce contexte que le chercheur a voulu mener cette étude. Examen des caractéristiques des femmes maltraitées qui ont visité le Masonwabisane Women Support Centre (MWSC) à Butterworth, dans la province du Cap-Oriental.
Autorenporträt
La Sra. Sizeka Monakali (nee Kupiso) tiene un BACUR de la Universidad de Sudáfrica y un MPH de la Universidad de Limpopo (Campus de Medunsa). Trabajó como profesora en el Lilitha College of Nursing Eastern Cape, y actualmente trabaja como administradora de servicios comunitarios en el subdistrito de salud de Mnquma, Eastern Cape.