Coccidiose chez les poulets dans l'État de Khartoum, Soudan - Eassa, Eassa;Elayis, Abubaker
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L'article décrit une étude sur la coccidiose des poulets menée dans l'Etat de Khartoum. Des échantillons destinés à isoler les oocystes d'Eimeria spp. sur le terrain ont été prélevés dans les fientes et les intestins de poulets dans des fermes et des abattoirs. Les échantillons ont été prélevés sur des oiseaux présentant des signes typiques de la maladie et n'ont pas été soumis à un traitement. Quatre-vingts échantillons (45 fèces et 35 intestins) ont été collectés de manière aseptique. Les échantillons ont été identifiés en utilisant le système d'identification parasitologique en ligne…mehr

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Produktbeschreibung
L'article décrit une étude sur la coccidiose des poulets menée dans l'Etat de Khartoum. Des échantillons destinés à isoler les oocystes d'Eimeria spp. sur le terrain ont été prélevés dans les fientes et les intestins de poulets dans des fermes et des abattoirs. Les échantillons ont été prélevés sur des oiseaux présentant des signes typiques de la maladie et n'ont pas été soumis à un traitement. Quatre-vingts échantillons (45 fèces et 35 intestins) ont été collectés de manière aseptique. Les échantillons ont été identifiés en utilisant le système d'identification parasitologique en ligne Coccimorph. Sur les 80 échantillons, 54 (67,5%) étaient positifs pour les oocytes d'Eimeria. Sur 50 échantillons collectés dans un système d'élevage ouvert, 33 (66,0%) étaient positifs pour Eimeria oocytes. Sur 30 échantillons collectés dans un système d'élevage fermé, 21 (70,0%) étaient positifs pour Eimeria oocytes. Sur 35 échantillons fécaux collectés pour l'isolement d'Eimeria oocytes, 28 (80,0%) étaient positifs pour Eimeria oocytes. Sur les 45 échantillons d'intestins collectés pour l'isolement d'Eimeria oocytes, 26 (57,8%) étaient positifs pour Eimeria oocytes. Les Emeria spp. identifiées étaient : 21 Eimeria mitis (38,8%), 19 Emeria necatrex (35,2%), 7 Emeria tenella (13,0%) et 7 Emeria maxima (13,0%).
Autorenporträt
Der Autor Dr. Eassa schloss 2012 sein Studium der Veterinärwissenschaften an der Universität von Nyala ab. Jetzt arbeitet er als Tierarzt in Saudi-Arabien.