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Les attaques de la cochenille radicole du manioc sont observées sur près de 42% de pieds et sévissent dans certaines zones agricoles, pendant qu'elles sont carrément absentes dans d'autres. Ces attaques sont plus élevées dans les champs issus de jachères (qui sont majoritairement exploitées dans la région) que dans les friches forestières. Elles sont plus abondantes et sévères dans les sols argileux que dans les sols sableux et plus ou moins modérées en sols argilo-sableux. Ce sont les variétés améliorées, plus productives, qui connaissent des taux d'infestation les plus élevés (plus de 50…mehr

Produktbeschreibung
Les attaques de la cochenille radicole du manioc sont observées sur près de 42% de pieds et sévissent dans certaines zones agricoles, pendant qu'elles sont carrément absentes dans d'autres. Ces attaques sont plus élevées dans les champs issus de jachères (qui sont majoritairement exploitées dans la région) que dans les friches forestières. Elles sont plus abondantes et sévères dans les sols argileux que dans les sols sableux et plus ou moins modérées en sols argilo-sableux. Ce sont les variétés améliorées, plus productives, qui connaissent des taux d'infestation les plus élevés (plus de 50 gales par plante). Les variétés locales, moins productives, sont relativement moins parasitées (20 à 40 gales par plante). Soulignons qu'aucun organe souterrain des plants de manioc n'est épargné des attaques de la cochenille radicole. Quant aux pertes de production dues à ces attaques, les variétés Balulu, Kivarwa, Canada et Sawasawa accusent des pertes moyennes de la production relativement importantes (près de 45%), alors que les variétés Liyayi et Mayumbe s'illustrent par de pertes de production relativement modérées (27 % en moyenne).
Autorenporträt
Ingénieur Agronome avec master of science en Forêts et Environnement, il est enseignant au sein des universités de la R.D.C notamment dans les Facultés de sciences agronomiques organisées en villes de Beni et de Butembo.Domaine de recherche: Agro-écologie, systèmes de culture et les bio-agresseurs.