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Adrien, neveu de Dimi, ouvre les yeux sur la vie, en faisant connaissance avec Codine, ancien forçat, qui souffre au plus haut point de sa laideur physique et qu'Adrien hésite d'abord à fréquenter. Puis il découvre la chaleur humaine qui se dégage de cette vie dure et misérable. Il rencontre ensuite Kir Nicolas, de qui il apprendra le coeur de l'homme et le travail. Istrati évoque douloureusement la xénophobie.

Produktbeschreibung
Adrien, neveu de Dimi, ouvre les yeux sur la vie, en faisant connaissance avec Codine, ancien forçat, qui souffre au plus haut point de sa laideur physique et qu'Adrien hésite d'abord à fréquenter. Puis il découvre la chaleur humaine qui se dégage de cette vie dure et misérable. Il rencontre ensuite Kir Nicolas, de qui il apprendra le coeur de l'homme et le travail. Istrati évoque douloureusement la xénophobie.
Autorenporträt
Panaït Istrati naît à Br¿ila, un port roumain sur le Danube, fils de la blanchisseuse Joi¿a Istrate et d'un contrebandier grec, Gherasim Valsamis. Son père est tué par les garde-côtes alors que Panaït est encore bébé. Élevé à Baldovine¿ti, village proche de Br¿ila, il étudie à l'école primaire durant six ans, en redoublant la première année. Il gagne ensuite sa vie comme apprenti chez un cabaretier, où il apprend le grec, puis chez un pâtissier albanais. Il devient ensuite marchand ambulant, man¿uvre, soutier à bord des paquebots du Service maritime roumain. Pendant cette période, il est un lecteur compulsif, et ses voyages le mènent à Bucarest, à Constantinople, au Caire, à Naples, à Paris et en Suisse. Il parle roumain, turc et grec avant tout contact avec le français. En 1916, Istrati contracte la phtisie. Il séjourne dans un sanatorium suisse à Leysin et fait la connaissance de Josué Jéhouda, qui lui apprend le français et lui fait découvrir les romans de Romain Rolland. Istrati en est plus qu'impressionné et fait du romancier son maître à penser. Une fois rétabli, il poursuit ses errances autour de la Méditerranée et commence à écrire en français. Il envoie son manuscrit à Romain Rolland qui, ayant déménagé, ne le reçoit pas. Istrati erre alors dans l'Europe à feu et à sang de la Première Guerre mondiale.