Le réchauffement climatique entraîne une croissance des archées endosymbiotiques et une altération de la structure et de la fonction du cerveau. Les archées endosymbiotiques sont dotées d'une magnétoperception et d'une perception quantique de faibles niveaux de CEM, ce qui entraîne des modifications cérébrales se traduisant par une atrophie du cortex frontal et une dominance cérébelleuse. Cela produit un trouble cognitif cérébelleux épidémique avec une présentation de type autisme à l'âge adulte. Il en résulte un manque de communication sociale, d'empathie, de compassion et d'affection qui conduit à une épidémie de solitude. La dominance cérébelleuse entraîne un comportement impulsif qui contribue à l'agression, à la violence, au terrorisme et à la criminalité. La forte croissance endosymbiotique des archées est liée à une cognition élevée et à un QI élevé, à une politique de droite et à une politique identitaire conduisant au tribalisme moderne. Il en résulte un trouble cognitif affectif cérébelleux et une néanderthisation du cerveau due à la croissance endosymbiotique des archées liée au changement climatique. Une faible croissance endosymbiotique du cerveau des archées est associée à une faible cognition, un faible QI, une politique de gauche et une politique de mondialisation et de civilité. Ceci est dû à la faible croissance endosymbiotique des archées et à la domination du cerveau cortical rationnel de l'homo sapiens.