Le stalinisme est souvent caractérisé par l'atomisation de la société et la rupture des liens sociaux. Le présent ouvrage met ces notions vagues à l'épreuve de pratiques concrètes pour en redéfinir les enjeux. En s'appuyant sur des lettres, journaux et de nombreux autres documents personnels inédits, exhumés des archives soviétiques, Malte Griesse relate des destins individuels saisissants - actes de courage, de lâcheté, volontés de savoir et de ne pas savoir. Il retrace la fine texture des liens interpersonnels dans la longue durée pour développer une grille analytique originale à cheval entre histoire, sociologie, psychologie et science politique, à même de renouveler notre regard sur l'un des chapitres les plus énigmatiques du 20e siècle. " La Révolution a dévoré ses propres enfants ", mais avec leur concours actif. L'auteur montre à quel point la parole et l'échange dans les micro-espaces ont été essentiels pour le développement de la capacité critique. C'est dans l'énorme potentiel des micro-espaces communicatifs face aux tabous du régime qu'il faut chercher les tensions sous-jacentes ayant abouti aux dynamiques meurtrières de la Terreur.
"Malte Griesse ist mit diesem Buch ein wichtiger Beitrag zur Stalinismusanalyse gelungen, der auf hohem Reflexionsniveau und mit mutigen Interpretationen neues Licht auf dieses System zu werfen vermag."
(Brigitte Studer, International Newsletter of Communist Studies XX/XXI 2014/15)
"Cet ouvrage est un apport important à l'historiographie actuelle sur la période stalinienne. Cette recherche, très érudite, proposant des analyses fines et détaillées, vient nourrir les débats sur la nature du régime stalinien et sur son rapport aux sujets."
(Magali Delaloye, Cahiers du Monde Russe 2012)
"Des essais comme celui-ci sont fondamentaux pour poursuivre un effort encore loin d'être abouti : comprendre ce que le communisme a fait au XX e siècle, et donc au nôtre."
(Yves Cohen, Annales HSS 68, 2013/2)«Malte Griesse ist mit diesem Buch ein wichtiger Beitrag zur Stalinismusanalyse gelungen, der auf hohem Reflexionsniveau und mit mutigen Interpretationen neues Licht auf dieses System zu werfen vermag.»
(Brigitte Studer, International Newsletter of Communist Studies XX/XXI 2014/15)
«Cet ouvrage est un apport important à l'historiographie actuelle sur la période stalinienne. Cette recherche, très érudite, proposant des analyses fines et détaillées, vient nourrir les débats sur la nature du régime stalinien et sur son rapport aux sujets.»
(Magali Delaloye, Cahiers du Monde Russe 2012)
«Des essais comme celui-ci sont fondamentaux pour poursuivre un effort encore loin d'être abouti : comprendre ce que le communisme a fait au XXe siècle, et donc au nôtre.»
(Yves Cohen, Annales HSS 68, 2013/2)
(Brigitte Studer, International Newsletter of Communist Studies XX/XXI 2014/15)
"Cet ouvrage est un apport important à l'historiographie actuelle sur la période stalinienne. Cette recherche, très érudite, proposant des analyses fines et détaillées, vient nourrir les débats sur la nature du régime stalinien et sur son rapport aux sujets."
(Magali Delaloye, Cahiers du Monde Russe 2012)
"Des essais comme celui-ci sont fondamentaux pour poursuivre un effort encore loin d'être abouti : comprendre ce que le communisme a fait au XX e siècle, et donc au nôtre."
(Yves Cohen, Annales HSS 68, 2013/2)«Malte Griesse ist mit diesem Buch ein wichtiger Beitrag zur Stalinismusanalyse gelungen, der auf hohem Reflexionsniveau und mit mutigen Interpretationen neues Licht auf dieses System zu werfen vermag.»
(Brigitte Studer, International Newsletter of Communist Studies XX/XXI 2014/15)
«Cet ouvrage est un apport important à l'historiographie actuelle sur la période stalinienne. Cette recherche, très érudite, proposant des analyses fines et détaillées, vient nourrir les débats sur la nature du régime stalinien et sur son rapport aux sujets.»
(Magali Delaloye, Cahiers du Monde Russe 2012)
«Des essais comme celui-ci sont fondamentaux pour poursuivre un effort encore loin d'être abouti : comprendre ce que le communisme a fait au XXe siècle, et donc au nôtre.»
(Yves Cohen, Annales HSS 68, 2013/2)