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Les connaissances des maraîchers sur les effets secondaires des pesticides, combinées aux caractéristiques personnelles et socio-psychologiques des agriculteurs, devraient entraîner une différence de perception du problème. Il est évident que le niveau de consommation de pesticides est faible en Inde par rapport à d'autres pays avancés sur le plan agricole. La présente étude a été menée dans cinq Talukas (Valod, Vyara, Songadh, Uchchal et Nizar) du district de Tapi, dans le sud du Gujarat. Plus des deux tiers (70,83%) des personnes interrogées avaient un niveau de connaissance moyen des effets…mehr

Produktbeschreibung
Les connaissances des maraîchers sur les effets secondaires des pesticides, combinées aux caractéristiques personnelles et socio-psychologiques des agriculteurs, devraient entraîner une différence de perception du problème. Il est évident que le niveau de consommation de pesticides est faible en Inde par rapport à d'autres pays avancés sur le plan agricole. La présente étude a été menée dans cinq Talukas (Valod, Vyara, Songadh, Uchchal et Nizar) du district de Tapi, dans le sud du Gujarat. Plus des deux tiers (70,83%) des personnes interrogées avaient un niveau de connaissance moyen des effets secondaires des pesticides. Cinq variables, à savoir la participation sociale, la propriété foncière, le contact avec la vulgarisation, la motivation économique et l'orientation vers le risque, ont contribué de manière positive et significative à la connaissance des effets secondaires des pesticides par les producteurs de légumes.
Autorenporträt
Arpit Jagdishbhai Dhodia es licenciado en Extensión Agrícola por la Universidad Agrícola de Navsari, Gujarat, India. Recientemente está realizando un doctorado en la misma universidad y también está interesado en el trabajo de desarrollo rural y en nuevas investigaciones relacionadas con la extensión agrícola.