32,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

L'infraction de droit commun "outrage au tribunal" est le mécanisme juridique datant du début des années 1100 par lequel le pouvoir judiciaire assure son indépendance, son efficacité et sa dignité. C'est le moyen par lequel le tribunal évite toute interférence avec l'administration de la justice, garantissant ainsi à l'accusé un procès équitable. C'est le moyen par lequel le tribunal sanctionne les actes scandaleux. Avec l'avènement d'une nouvelle ère constitutionnelle dans laquelle toutes les lois, qu'elles soient communes ou légales, doivent être conformes aux valeurs contemporaines d'une…mehr

Produktbeschreibung
L'infraction de droit commun "outrage au tribunal" est le mécanisme juridique datant du début des années 1100 par lequel le pouvoir judiciaire assure son indépendance, son efficacité et sa dignité. C'est le moyen par lequel le tribunal évite toute interférence avec l'administration de la justice, garantissant ainsi à l'accusé un procès équitable. C'est le moyen par lequel le tribunal sanctionne les actes scandaleux. Avec l'avènement d'une nouvelle ère constitutionnelle dans laquelle toutes les lois, qu'elles soient communes ou légales, doivent être conformes aux valeurs contemporaines d'une nouvelle société démocratique, le délit d'outrage doit être conforme aux valeurs de la Constitution namibienne. L'une de ces valeurs est le droit fondamental à la liberté de parole et d'expression accordé aux médias. Les médias comprennent la presse, la radio, l'Internet et la télévision. L'essence de ce livre est donc d'examiner dans quelle mesure le crime d'outrage au tribunal de droit commun est conforme à ces valeurs constitutionnelles. En d'autres termes, ce délit restreint-il raisonnablement la liberté d'expression légale des médias comme l'exige une société démocratique comme la nôtre ? Ou cette restriction est-elle injustifiée ?
Autorenporträt
Stanley Shanapinda, es consultor de servicios jurídicos, gobierno corporativo, secretaría de empresa, política y regulación de las tecnologías de la información y la comunicación. Está admitido como abogado en el Tribunal Superior de Namibia.