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L'agroforesterie et la lutte contre l'érosion des sols ont un rôle important à jouer dans la sécurité alimentaire et la préservation de l'environnement. En intégrant l'arboriculture à la production agricole, nous pouvons résoudre les problèmes de faible production agricole, d'aggravation des pénuries de bois et de dégradation de l'environnement. Un questionnaire structuré, une évaluation rurale participative (ERP), des récits oraux, des entretiens semi-structurés, des observations participantes, une étude botanique et un examen des données secondaires ont été les principales méthodes de…mehr

Produktbeschreibung
L'agroforesterie et la lutte contre l'érosion des sols ont un rôle important à jouer dans la sécurité alimentaire et la préservation de l'environnement. En intégrant l'arboriculture à la production agricole, nous pouvons résoudre les problèmes de faible production agricole, d'aggravation des pénuries de bois et de dégradation de l'environnement. Un questionnaire structuré, une évaluation rurale participative (ERP), des récits oraux, des entretiens semi-structurés, des observations participantes, une étude botanique et un examen des données secondaires ont été les principales méthodes de collecte de données utilisées dans le cadre de cette étude. Les résultats indiquent que l'agroforesterie et le contrôle de l'érosion des sols contribuent à la sécurité alimentaire des ménages dans les quatre villages visités du district de Lushoto. L'étude a révélé qu'il y a une déforestation continue dans la forêt naturelle de Shagayu malgré le fait que les ménages pratiquent l'agroforesterie. Il existe également un problème d'infertilité des terres dans les fermes des hautes terres et la production est donc concentrée dans les fermes des basses terres. Néanmoins, de nombreux ménages sont en situation d'insécurité alimentaire et ont besoin d'une aide alimentaire.
Autorenporträt
M. Ibrahim Hussein, jeune chercheur, est titulaire d'un master en sciences agricoles et en gestion des ressources de l'université de Bonn, en Allemagne, obtenu en 2012. Il travaille actuellement pour l'Institut de recherche forestière de Tanzanie. Mes domaines de recherche sont la sécurité alimentaire, le changement climatique, la conservation des sols, l'agroforesterie, l'agriculture et la conservation des forêts.