Corrosion à hautes températures d'aluminiures de titane - Gateau, Romain
45,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

Au cours de ce travail, des revêtements intermétalliques TiAlx (x=1,2,3) ont été élaborés sur des substrats à base titane: le titane pur et l alliage commercial, TA6V. L objectif était de réaliser des revêtements d aluminiure en surface et d étudier le comportement des matériaux revêtus vis-à-vis de la corrosion. Les matériaux revêtus ont été testés à trois températures : 700°C, 800°C et 900°C. Les revêtements ont été réalisés à 1000°C par la méthode de cémentation en caisse. Les revêtements réalisés par ce procédé sont toujours adhérents au substrat. Pendant la réaction d oxydation, l…mehr

Andere Kunden interessierten sich auch für
Produktbeschreibung
Au cours de ce travail, des revêtements intermétalliques TiAlx (x=1,2,3) ont été élaborés sur des substrats à base titane: le titane pur et l alliage commercial, TA6V. L objectif était de réaliser des revêtements d aluminiure en surface et d étudier le comportement des matériaux revêtus vis-à-vis de la corrosion. Les matériaux revêtus ont été testés à trois températures : 700°C, 800°C et 900°C. Les revêtements ont été réalisés à 1000°C par la méthode de cémentation en caisse. Les revêtements réalisés par ce procédé sont toujours adhérents au substrat. Pendant la réaction d oxydation, l existence d un processus de rétrodiffusion de l aluminium modifie la nature des phases et l organisation du revêtement. Les phases TiAl et TiAl2 ne sont pas suffisamment riches en aluminium pour promouvoir la formation d une couche d alumine protectrice. Lorsque ce sont ces phases qui sont à la surface du revêtement, on assiste toujours à la formation d une couche superficielle de rutile TiO2. Quand elle constitue la sous-couche externe du revêtement, la phase TiAl3 est assez riche en aluminium pour former une couche d alumine -Al2O3 couvrante, compacte et protectrice.
Autorenporträt
Romain Gateau a obtenu sa thèse en 2011 à l'institut Interdisciplinaire Carnot de Bourgogne. Ses travaux portaient sur l'étude de la corrosion à hautes températures d'aluminiures de titane réalisés par CVD. Il a poursuivi ses recherches par un post-doctorat au CEA Valduc où il a travaillé sur des dépôts PVD métalliques en couches minces.