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Les effets de différents taux d'irrigation sur le coton ont été évalués en testant T1 = 0,8 ; T2 = 1,0 et T3 = 1,2 de l'évapotranspiration de la culture, en appliquant 411,6, 514,5 et 617,4 mm d'eau, en évaluant le rendement, le pourcentage de fibre, le poids des capsules, le poids de 100 graines et les caractéristiques technologiques de la fibre. L'efficacité de l'utilisation de l'eau et l'efficacité économique du système de production ont été déterminées en étudiant la hauteur moyenne de la plante, le diamètre de la tige, la surface foliaire et la phytomasse de la plante. Le rendement en…mehr

Produktbeschreibung
Les effets de différents taux d'irrigation sur le coton ont été évalués en testant T1 = 0,8 ; T2 = 1,0 et T3 = 1,2 de l'évapotranspiration de la culture, en appliquant 411,6, 514,5 et 617,4 mm d'eau, en évaluant le rendement, le pourcentage de fibre, le poids des capsules, le poids de 100 graines et les caractéristiques technologiques de la fibre. L'efficacité de l'utilisation de l'eau et l'efficacité économique du système de production ont été déterminées en étudiant la hauteur moyenne de la plante, le diamètre de la tige, la surface foliaire et la phytomasse de la plante. Le rendement en coton graine a augmenté avec le taux d'irrigation, le taux le plus élevé (617,4 mm) produisant 3 289,5 kg.ha-1 de coton graine. Les traitements appliqués n'ont pas affecté les composantes de la production et les caractéristiques technologiques de la fibre de coton. L'efficacité de l'utilisation de l'eau (WUE) a varié de 0,53 à 0,60 kg.mm-3, pour tous les taux d'eau appliqués. Les traitements ont présenté un revenu net par hectare de R$ 386,99 ; R$ 732,89 et R$ 1 140,37 pour les traitements T1, T2 et T3, respectivement, avec un rapport bénéfice/coût de 1,59 ; 1,83 et 2,12. Un effet a été observé sur les variables de croissance étudiées.
Autorenporträt
Diplômé en agronomie (UFPB - 1975), master en génie civil (UFPB - 1979) et doctorat en ressources naturelles (UFCG - 2007). Il est actuellement chercheur à l'EMBRAPA, où il travaille sur les lignes de recherche de l'irrigation et du drainage, en mettant l'accent sur la consommation d'eau des cultures.