Culture de palmiers fourragers dans la région semi-aride en conditions salines - Pereira, Mariana de Oliveira;de Azevedo, Carlos Alberto Vieira;Ramos, Jailton Garcia
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Bien que le palmier fourrager soit adapté à la région semi-aride brésilienne, il peut être influencé par les conditions édaphoclimatiques de cette région. L'objectif de cette recherche était d'évaluer l'effet de différents taux d'irrigation et niveaux de salinité de l'eau sur la culture de l'espèce Mexican Elephant Ear. La recherche a été menée dans des pots en plein air à l'Université fédérale de Campina Grande entre septembre 2017 et décembre 2018. Le plan expérimental était des blocs randomisés dans un schéma factoriel 4 x 4, avec 4 répétitions. Les facteurs consistaient en quatre taux…mehr

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Produktbeschreibung
Bien que le palmier fourrager soit adapté à la région semi-aride brésilienne, il peut être influencé par les conditions édaphoclimatiques de cette région. L'objectif de cette recherche était d'évaluer l'effet de différents taux d'irrigation et niveaux de salinité de l'eau sur la culture de l'espèce Mexican Elephant Ear. La recherche a été menée dans des pots en plein air à l'Université fédérale de Campina Grande entre septembre 2017 et décembre 2018. Le plan expérimental était des blocs randomisés dans un schéma factoriel 4 x 4, avec 4 répétitions. Les facteurs consistaient en quatre taux d'irrigation (25, 50, 75 et 100 pour cent) en fonction de la capacité hydrique totale du sol et de quatre niveaux de conductivité électrique de l'eau : 0,60, 3,00, 5,40 et 7,80 dS m-1. L'évapotranspiration de référence (ET0), l'évapotranspiration réelle (ETr) et le coefficient de culture (kc) ont été déterminés. L'application de taux d'irrigation compris entre 320,00 et 460,00 mm favorise l'ETr du palmier fourrager et, même en conditions salines, la plante maintient sa demande évapotranspiratoire. Le kc a varié entre 0,68 et 0,85. La production la plus élevée a été obtenue avec un seuil de salinité de 2,23 et une nappe phréatique de 354 mm.
Autorenporträt
Elle est titulaire d'un diplôme en ingénierie agricole et environnementale de l'université fédérale de Fluminense (UFF), d'un master en ingénierie des biosystèmes (systèmes agricoles et environnementaux), avec une spécialisation en gestion de l'environnement, et d'un doctorat en ingénierie agricole avec une spécialisation en irrigation et drainage.