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Cet article se concentre sur l'incidence fiscale, à la recherche du « vrai » perdant ou gagnant de la déduction des intérêts de la dette dans le calcul de l'impôt sur les sociétés. Le premier échantillon est une étude de cas de deux entreprises identiques, l'une endettée et l'autre non endettée, ayant le même projet d'investissement rentable sur une période donnée. Le deuxième échantillon contient 20 entreprises endettées en France sur une période de 5 ans. L'hypothèse des coûts et des revenus non gratuits est utilisée. L'étude de cas stylisée de deux entreprises hypothétiques et l'analyse…mehr

Produktbeschreibung
Cet article se concentre sur l'incidence fiscale, à la recherche du « vrai » perdant ou gagnant de la déduction des intérêts de la dette dans le calcul de l'impôt sur les sociétés. Le premier échantillon est une étude de cas de deux entreprises identiques, l'une endettée et l'autre non endettée, ayant le même projet d'investissement rentable sur une période donnée. Le deuxième échantillon contient 20 entreprises endettées en France sur une période de 5 ans. L'hypothèse des coûts et des revenus non gratuits est utilisée. L'étude de cas stylisée de deux entreprises hypothétiques et l'analyse empirique de 20 entreprises en France conduisent au même résultat. En fait, la déduction des intérêts de la dette dans le calcul de l'impôt sur les sociétés a comme « vrai » perdre l'entreprise avec un levier financier nul et comme « vrai » gagner l'entreprise avec un levier financier non nul. Cet article est l'un des premiers à élargir la littérature en recherchant le « vrai » perdant ou gagnant de la déduction des intérêts de la dette dans le calcul de l'impôt sur les sociétés.
Autorenporträt
Stanislas T. Médard D. C. Agossadou : Chercheur à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) au Bénin depuis 2004.