Quand j'avais commencé cette recherche sur le massif montagneux de Moulay Idriss Zerhoun, un désir caché et subjectif de voir ce site sur la liste du Patrimoine Mondial caressait mes rêves, cependant, les menaces et les risques qui se sont dévoilés au fur et à mesure de la réalisation du travail m'ont poussé à penser aux solutions capables d'améliorer le niveau de vie des habitants plutôt qu'au label ; et une réalité s'est imposée triomphalement : La gestion d'un paysage culturel doit avoir comme objectif de soulager la pauvreté sans nuire à l'intégrité et l'authenticité matérielle et immatérielle. Certains lecteurs peuvent me taxer de rêveur, ce que je ne nie pas puisque "mieux vaut vivre son rêve que rêver sa vie"