Il est question de montrer comme le Législateur congolais a pu manifester sa volonté de protéger l'intérêt de l'élève qui se trouverait soumis à des conditions inhumaines, par rapport à la considération pédagogiques considéré comme faisant partie de l'éducation de celui-ci.Ce sujet a fait l'objet de notre étude sur le plan juridico-pédagogique, se basant d'abord sur la manière dont les enseignants (es) sont entrains de traiter les élèves en les soumettant à des travaux manuels, des punitions corporelles qui, selon eux, se référant à la Loi-cadre de l'enseignement primaire, secondaire et technique. Ainsi qu'aux travaux qui ne profitent pas aux enfants, par exemple, de l'autofinancement qui profite aux enseignants. Ce comportement affriande le développement normal de l'enfant.Raison pour laquelle un conflit est né entre deux disciplines; pour les pédagogues, ce comportement contribue au développement éducationnel, mental et physique de l'apprenant ; tandis que pour les juristes (législateurs congolais), c'est une violation flagrante de la loi ci-haut citée et de la charte africaine de droit de l'homme.