Le thème qui a jalonné cette dissertation a eu pour message essentiel l'amour. Celui-ci perd son élan ou se concrétise selon les circonstances de la vie. Nombreux, et c'est souvent le cas, trahissent leur premier oui au profit d'un deuxième qui, souvent n'est que fallacieux. Dans les cas où la trahison est là, faut-il rester dans l'aigreur ou faudrait-il accorder le pardon et quelles sont les étapes qui aident à surmonter l'épreuve de peur d'entrer dans le désespoir qui conduit souvent à la dépression ? Certes, chacun peut expérimenter sans donner des recettes toutes faites l'étape la mieux adaptée à sa situation. J'ai estimé toutefois qu'elles sont toutes nécessaires pour se refaire d'une trahison subie et vécue en société par un être aimé et proche, car, l'avais-je souligné, l'on ne peut trahir que celui que l'on connaît d'une manière ou d'une autre; celui avec qui on a ne serait-ce qu'une seconde de contact. Le traitre cependant perd sa personnalité après coup. La relation avec lui peut changer mais l'invitation à l'aimer demeure car du vrai chrétien jaillit le miel de l'amour. Et « la réponse au mal c'est l'amour ». Merci à l'Amour ; merci pour l'amour.