Document de l'année 2020 dans le domaine Philosophie - Divers, note: L2, , cours: Philosophie morale, langue: Français, résumé: Ce sujet qui se veut scientifique, s'inscrit dans le domaine de la philosophie morale dans le sens qu'il veut s'occuper de la manière de sauvegarder l'identité et l'autonomie de l'homme d'abord, par le principe de cohésion d'un soi qui se dit le même, ensuite, par l'autre en tant qu'il est, lui aussi un soimême. Il veut donc définir l'affirmation heureuse que chaque homme a de soi-même à travers son identité personnelle, ses capacités de dire, de raconter et de se raconter, de s'auto désigner comme auteur de ses actes, de promettre et de se porter sujet d'imputabilité d'un acte bon ou non.
La question philosophique de l'identité et la reconnaissance de l'autre nous a interessé dans le but de redonner un sens nouveau au Moi dans la certitude intime d'être soi dans sa conscience morale et de faire un mouvement vers autrui. C'est à moi que le mouvement parti de l'autre acheve sa trajectoire: l'autre me constitue responsable, capable de répondre à sa demande. Le désir humain est ainsi fait et ne se maintient comme désir proprement humain, qu'en doublant son besoin d'une vocation adressée à autrui: à l'autre qui est aussi désir sans issue mais qui, à ce titre peut comprendre mon indigence et la reconnaître. Mon être n'est pas à moi, il me vient de la réponse d'autrui.
C'est pourquoi une telle réflexion philosophique est pour nous le lieu d'amener l'homme de notre temps à réaliser sa destinée, à réveiller auprès de lui le sens de l'autre, à aimer son semblable comme soi-même et d'insister surtout sur le fait de prendre conscience de ses capacités de grandes réalisations.
Aujourd'hui, notre siècle semble être celui du solipsisme, chacun pense être la seule réalité existante, tout le reste serait illusoire. Le Moi égocentrique veut prendre le primat sur le soi communautaire, chacun veut sauvegarder ses intérêts en oubliant le reste.
Il se remarque dans l'évolution de la technique où le sujet pensant est en train de s'exalter en détruisant la nature.
Notre but est de s'occuper de la manière de sauvegarder l'identité et l'autonomie de soi d'abord par le principe de cohésion d'un soi qui se dit le même, ensuite, par l'autre en tant qu'il est, lui aussi un soi-même.
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La question philosophique de l'identité et la reconnaissance de l'autre nous a interessé dans le but de redonner un sens nouveau au Moi dans la certitude intime d'être soi dans sa conscience morale et de faire un mouvement vers autrui. C'est à moi que le mouvement parti de l'autre acheve sa trajectoire: l'autre me constitue responsable, capable de répondre à sa demande. Le désir humain est ainsi fait et ne se maintient comme désir proprement humain, qu'en doublant son besoin d'une vocation adressée à autrui: à l'autre qui est aussi désir sans issue mais qui, à ce titre peut comprendre mon indigence et la reconnaître. Mon être n'est pas à moi, il me vient de la réponse d'autrui.
C'est pourquoi une telle réflexion philosophique est pour nous le lieu d'amener l'homme de notre temps à réaliser sa destinée, à réveiller auprès de lui le sens de l'autre, à aimer son semblable comme soi-même et d'insister surtout sur le fait de prendre conscience de ses capacités de grandes réalisations.
Aujourd'hui, notre siècle semble être celui du solipsisme, chacun pense être la seule réalité existante, tout le reste serait illusoire. Le Moi égocentrique veut prendre le primat sur le soi communautaire, chacun veut sauvegarder ses intérêts en oubliant le reste.
Il se remarque dans l'évolution de la technique où le sujet pensant est en train de s'exalter en détruisant la nature.
Notre but est de s'occuper de la manière de sauvegarder l'identité et l'autonomie de soi d'abord par le principe de cohésion d'un soi qui se dit le même, ensuite, par l'autre en tant qu'il est, lui aussi un soi-même.
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