Andere Kunden interessierten sich auch für
![Byzantine Commentaries on Aristotle's ¿Rhetoric¿]( "Byzantine Commentaries on Aristotle's ¿Rhetoric¿")
Byzantine Commentaries on Aristotle's ¿Rhetoric¿102,99 €![Taxation in the Achaemenid Empire]( "Taxation in the Achaemenid Empire")
Taxation in the Achaemenid Empire68,99 €![Feasible Management of Archaeological Heritage Sites Open to Tourism]( "Feasible Management of Archaeological Heritage Sites Open to Tourism")
Feasible Management of Archaeological Heritage Sites Open to Tourism95,99 €![Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites]( "Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites")
Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites106,99 €![Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites]( "Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites")
Aspects of Management Planning for Cultural World Heritage Sites74,99 €![Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes]( "Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes")
Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes117,69 €![Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes]( "Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes")
Maritime and Underwater Cultural Heritage Management on the Historic and Arabian Trade Routes81,99 €
Le pi ni a été considéré comme une société agricole, aux associés solidaires, dirigée par le pittakiarque ; ou bien comme un mode de mise en culture de la terre publique, imposé par l'administration : le pittakiarque prenait en fermage de larges superficies et en sous-louait la plus grande partie à d'autres cultivateurs, tout en restant responsable envers le fisc. Dans la vingtaine de textes sur les pittakia qu'on dispose actuellement, on ne discerne pas, sauf erreur, d'indices d'une mise en culture forcée ou de sous-location de la terre, ni de signes de solidarité entre les membres du groupe. Le rôle du pittakiarque reste indéfini. Ce qu'on peut signaler de nouveau c'est que deux pittakiarques étaient en même temps des pi , des liturges exerçant un certain contrôle sur les pittakia, que plusieurs cultivateurs étaient des membres de deux pittakia à la fois et qu'il y avait des rapports durables entre certains membres d'un pittakion ; à signaler aussi le transfertde quelques parcelles de terre fait d'un pittakion à un autre. De plus, on y relève un certain nombre de personnes non attestées par ailleurs ; et de nouveaux toponymes, grecs ou d'origine égyptienne, précisant la localisation des terres cultivées.