23,99 €
inkl. MwSt.

Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
12 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Pour reprendre le monopole de la violence légitime, le gouvernement combattait militairement les structures des groupes armés et/ou acceptait le dialogue afin de désarmer, démobiliser et réintégrer les combattants. Dans ce document, nous omettons le côté guerrier du gouvernement colombien pour nous focaliser sur sa stratégie lors du processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) des groupes paramilitaires d'extrême droite. Le cadre juridique que le gouvernement a établi pour renforcer ce processus a été donné tout d'abord par les lois établies auparavant , mais principalement…mehr

Produktbeschreibung
Pour reprendre le monopole de la violence légitime, le gouvernement combattait militairement les structures des groupes armés et/ou acceptait le dialogue afin de désarmer, démobiliser et réintégrer les combattants. Dans ce document, nous omettons le côté guerrier du gouvernement colombien pour nous focaliser sur sa stratégie lors du processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) des groupes paramilitaires d'extrême droite. Le cadre juridique que le gouvernement a établi pour renforcer ce processus a été donné tout d'abord par les lois établies auparavant , mais principalement par la loi 975 de 2005 qui s'identifie comme la « Ley de Justicia y Paz ». Malgré les efforts faits par le gouvernement, la démobilisation n'a pas empêché que certains démobilisés rejoignent des organisations criminelles comme les « Bandas Criminales (BACRIM) ». Nous pensons que l'intérêt que ses organisations portent aux démobilisés, peut s'expliquer par les opportunités qu'elles donnent de mettre à profit les connaissances qu'ils ont acquises en tant que paramilitaires actifs.
Autorenporträt
Né en Colombie en 1984, a fait ses études à Bogota, Montpellier et Paris. Après avoir reçu son diplôme en économie à Bogota, il a travaillé dans le secteur financier colombien. En suite il est parti en France pour continuer avec sa formation académique à l'Université de Montpellier 1 et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris.