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Avant l'effondrement du rideau de fer et la chute des régimes communistes en Europe centrale et orientale, la question de la démocratisation n'était pas sérieusement considérée comme une option administrative dans la plupart des régions du monde. Mais ces perceptions ont radicalement changé au début des années 1990, lorsque le vent de la vague de démocratisation de Huntington a balayé l'Europe centrale et orientale ainsi que l'Asie, l'Amérique latine et les continents africains. Ces vagues de démocratisation ont récemment fait l'objet de nombreuses attaques et critiques constructives de la…mehr

Produktbeschreibung
Avant l'effondrement du rideau de fer et la chute des régimes communistes en Europe centrale et orientale, la question de la démocratisation n'était pas sérieusement considérée comme une option administrative dans la plupart des régions du monde. Mais ces perceptions ont radicalement changé au début des années 1990, lorsque le vent de la vague de démocratisation de Huntington a balayé l'Europe centrale et orientale ainsi que l'Asie, l'Amérique latine et les continents africains. Ces vagues de démocratisation ont récemment fait l'objet de nombreuses attaques et critiques constructives de la part des chercheurs quant à la validité des hypothèses démocratiques par rapport au discours sur le développement national. Alors que certains chercheurs soutiennent que seul un régime démocratique peut conduire au développement national, d'autres sont d'avis que c'est le développement national qui annonce la démocratisation. D'autres encore soulignent l'importance de l'autoritarisme comme condition sine qua non du développement national. Cette étude tente de répondre à cette controverse de perception, avec des données empiriques générées à partir de sources secondaires, afin d'analyser comparativement la relation entre la démocratisation et le développement national au Nigéria et en Indonésie.
Autorenporträt
Augustine Ejiofor Onyishi est diplômé en sciences politiques, avec une maîtrise en économie politique (Pol. Sc) et une maîtrise en gestion du personnel (Pub. Admin) de l'Université du Nigeria. Il est également titulaire d'un doctorat en économie politique et en études du développement de l'université de Calabar et enseigne actuellement à temps partiel à l'université Madonna.