Perçu comme droit individuel, le droit au respect de la vie privée est assujetti à deux préalables ; d'une part celui résultant à l'ordre public et de l'autre part celui résultant aux droits des tiers. Par déduction moins approximative, la conclusion est sans reproche! Il s'agit donc d'un droit fondamental limitable. Si la vie privée encadre l'immixtion arbitraire de fois aussi dangereuse du pouvoir, il serait presque vilain de doter ce dernier des moyens compacts visant à réajuster un droit jugé aussi important à l'existence de l'être humain ; bien au contraire, cette sûreté individuelle arrêtée par respect de la vie privée serait aussi vicieuse si elle s'écarte de la volonté de l'intérêt générale ! Une volonté bétonnée par la recherche de la sécurité, la salubrité et la tranquillité public par le pouvoir. Face à ce rixe, ce livre vient définir une procédure se trouvant à mis chemin dont la conciliation entre les deux tendances parait moins pittoresque.