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Ce livre décrit un moyen de financer le développement économique des pays en développement (PED) sans épargne ni prêts étrangers. Selon la théorie économique , un PED doit disposer d'une épargne suffisante avant de s'engager dans un processus de développement . Hélas, il existe un paradoxe de l'épargne, qui veut qu'une augmentation de l'épargne réduise la croissance du PIB et l'épargne qui en découle. Si l'épargne n'est pas disponible, les PED doivent emprunter des prêts étrangers auprès des pays à excédent d'épargne ou auprès des institutions financières internationales. Mais les recherches…mehr

Produktbeschreibung
Ce livre décrit un moyen de financer le développement économique des pays en développement (PED) sans épargne ni prêts étrangers. Selon la théorie économique , un PED doit disposer d'une épargne suffisante avant de s'engager dans un processus de développement . Hélas, il existe un paradoxe de l'épargne, qui veut qu'une augmentation de l'épargne réduise la croissance du PIB et l'épargne qui en découle. Si l'épargne n'est pas disponible, les PED doivent emprunter des prêts étrangers auprès des pays à excédent d'épargne ou auprès des institutions financières internationales. Mais les recherches ont montré que la croissance économique des PED qui ont recours à des prêts étrangers pour financer leur développement est plus faible que celle des pays qui s'autofinancent. Laquestion est de savoir quelles sources intérieures ? Schumpeter a proposé la création de monnaie à partir de rien. C'est ainsi que laFrance et l'Allemagne ont industrialisé leurs pays au 19e siècle. C'estégalement la méthode utilisée par l'Allemagne pour reconstruire lepays après la Seconde Guerre mondiale, et par la Chine après 1980 pour rattraper son retard de développement. C'est la voie proposée pour les PED, qui abritent des milliards de personnes.
Autorenporträt
J'ai obtenu mon diplôme d'ingénieur à Bandung, j'ai travaillé à Jakarta, au département des transports, puis dans la banque d'investissement. J'ai ensuite étudié à Aix-la-Chapelle, puis je suis retourné à Jakarta, où j'ai travaillé à la direction générale des autoroutes, avant de terminer mon doctorat en économie publique en France. J'ai ensuite travaillé dans un bureau de conseil, chargé de la macroéconomie et du financement global.