La production des céréales en Algérie est caractérisée par des fluctuations très instables due essentiellement à l'irrégularité des apports pluviométriques. Le déficit est comblé par des importations qui font alourdir la facture alimentaire. La régularité de la pluviométrie et l'adoption de nouvelles réformes économiques initiées à partir de 2008 ont eu des répercussions qui se font sentir sur une nette amélioration et une stabilisation de la production céréalière. Les résultats obtenus en analysant les productions et les rendements obtenus durant la période 2001-2013 (données disponibles depuis l'avènement PNDA) a fait ressortir un gain moyen de 11,35 q/ha du à l'irrigation d'appoint. Ceci n'est pas négligeable, mais, il y a possibilité de faire mieux. Ce gain fluctue d'une année à l'autre et d'une spéculation à l'autre, mais également, au sein de la même spéculation (variétés de l'espèce). Cet ouvrage est destiné à tous ceux qui s'intéressent à la céréaliculture, chercheurs (Les généticiens (améliorateurs)en particulier), développeurs, vulgarisateurs, programmateurs, gestionnaires et décideurs ainsi que le large publique.