Cet ouvrage montre la nécessité de la promotion des droits de l'Homme et libertés fondamentales auprès de couches spécifiques de la population ivoirienne : les analphabètes, les déscolarisés et la jeunesse en crise. Il montre l'impérieuse nécessité, d'une part, pour les organismes de vulgarisation des droits de l'Homme de tenir compte de la forte proportion d'analphabètes et de déscolarisés que compte le pays, d'autre part, pour les promoteurs de centres d'inclure cette question dans la formation de néo-alphabètes. Quelle approche pour aborder la question des droits de l'Homme face à un public qui ne sait ni lire ni écrire ? En quoi peut-on dire qu'une partie de la jeunesse ivoirienne est en crise ? En plus d'apporter des réponses à ces interrogations, ce livre propose un modèle de projet d'alphabétisation et d'éducation non formelle ciblant les populations concernées.