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RÉSUMÉ : Des expériences ont été menées pour étudier l'effet de la qualité et de la quantité de certaines matières alimentaires sur le développement des larves, l'émergence des adultes et le rapport des sexes du moustique Anopheles arabiensis Say (Diptera : Culicidae). Les matériaux alimentaires choisis étaient des feuilles en poudre, des tiges, des graines, des gousses et des racines de la plante Aristolochia bracteolate Retz. 0.40 gm semble être la quantité optimale pour chaque plante pour assurer l'émergence de 50 adultes. Les gousses d'Aristolochia bracteolate ont eu le plus grand effet…mehr

Produktbeschreibung
RÉSUMÉ : Des expériences ont été menées pour étudier l'effet de la qualité et de la quantité de certaines matières alimentaires sur le développement des larves, l'émergence des adultes et le rapport des sexes du moustique Anopheles arabiensis Say (Diptera : Culicidae). Les matériaux alimentaires choisis étaient des feuilles en poudre, des tiges, des graines, des gousses et des racines de la plante Aristolochia bracteolate Retz. 0.40 gm semble être la quantité optimale pour chaque plante pour assurer l'émergence de 50 adultes. Les gousses d'Aristolochia bracteolate ont eu le plus grand effet larvicide contre les larves d'Anopheles arabiensis avec (100%) de mortalité chez les larves, suivies par les racines avec (90,6%) de mortalité chez les larves, les graines avec (78,6%) de mortalité chez les larves et les tiges avec (72%) de mortalité chez les larves. Les feuilles d'Aristolochia bracteolate sont peu toxiques avec (30%) de mortalité chez les larves. Les mâles ont émergé en premier, suivis des femelles. Le rapport des sexes était généralement de 1:1. Cette étude suggère que les gousses de la plante Aristolochia bracteolate devraient être considérées comme des larvicides prometteurs contre les larves d'Anopheles arabiensis.
Autorenporträt
Alhussein est né en 1991 à Gadareif, dans l'est du Soudan. Diplômé de la faculté des sciences de l'Université de Khartoum, département de zoologie, avec le diplôme de licence, première classe (hounr) en 2014. Il a travaillé comme chercheur dans le projet de la technique de l'insecte stérile de 2014 à 2017. Maintenant, il travaille comme chercheur au Laboratoire national de santé publique.