Effet des pratiques culturales sur deux bioindicateurs en maraîchage - Rakotomalala, Zoriharisoa Ghyslaine Olive
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Mahajanga connaît une urbanisation importante qui va de pair avec l'augmentation de la demande en approvisionnement alimentaire. Le maraîchage est une des réponses à cette demande. Les zones maraîchères sont sujettes à des problèmes fonciers accrus et l'extension de la surface cultivable s'avère impossible. La production devrait donc amener à croître par intensification. Cette intensification touche la communauté biologique du sol. Dans cet ouvrage, on a étudié les nématodes et les vers de terre, pour évaluer les effets des pratiques culturales sur l'abondance de cette faune du sol, étant…mehr

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Produktbeschreibung
Mahajanga connaît une urbanisation importante qui va de pair avec l'augmentation de la demande en approvisionnement alimentaire. Le maraîchage est une des réponses à cette demande. Les zones maraîchères sont sujettes à des problèmes fonciers accrus et l'extension de la surface cultivable s'avère impossible. La production devrait donc amener à croître par intensification. Cette intensification touche la communauté biologique du sol. Dans cet ouvrage, on a étudié les nématodes et les vers de terre, pour évaluer les effets des pratiques culturales sur l'abondance de cette faune du sol, étant donné que ce sont des bioindicateurs du fonctionnement du sol. Le site maraîcher choisi était le lac Betamango. Des enquêtes et observation sur terrain ont été effectuées. On a dénombré en moyenne 167500 nématodes/m2 tandis que les vers de terre est de 16 individus/m2. Généralement, toutes les pratiques culturales ainsi que la diversité culturale n'ont pas d'influence sur l'abondance des nématodes, sauf la succession de labour qui montre une petite différence. Par contre, l'abondance des vers de terre est influencée par les apports en matières fertilisantes et la succession du labour.
Autorenporträt
Z. G. Olive RAKOTOMALALA, Docteur en Sciences de la vie et de l'environnement, spécialité agrobiodiversité à la Faculté des Sciences, de Technologie et de l'Environnement de l'Université de Mahajanga