Dans la maladie de Parkinson, la stimulation à haute fréquence (SHF) du noyau sous-thalamique (NST) améliore considérablement les symptômes moteurs des patients. En revanche, chez certains patients ses effets non moteurs restent mal maîtrisés en affectant de façon très variable la cognition et le comportement. L'objectif de notre travail était d'étudier les effets moteurs, cognitifs et affectifs de la SHF du NST chez le singe normal puis rendu parkinsonien par MPTP.