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Cette étude réalisée sur les Hauts-plateaux de Madagascar consiste à évaluer les effets des plantes de service utilisées en SCV sur la biodiversité et les activités de la macrofaune du sol en particulier les vers de terre et les vers blancs. Les tests ont été réalisés en champ expérimental et sous serre. Sur terrain, les essais ont été conduits sur deux dispositifs dont l'un avec plantes de services seules et l'autre avec plantes de service associées à du riz pluvial. Les plantes de services testées ont été le haricot, la vesce, le brachiaria, le radis fourrager, la crotalaire + éleusine, la…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude réalisée sur les Hauts-plateaux de Madagascar consiste à évaluer les effets des plantes de service utilisées en SCV sur la biodiversité et les activités de la macrofaune du sol en particulier les vers de terre et les vers blancs. Les tests ont été réalisés en champ expérimental et sous serre. Sur terrain, les essais ont été conduits sur deux dispositifs dont l'un avec plantes de services seules et l'autre avec plantes de service associées à du riz pluvial. Les plantes de services testées ont été le haricot, la vesce, le brachiaria, le radis fourrager, la crotalaire + éleusine, la cléome + tagète + cosmos. Des parcelles témoins ne contenaient que de la céréale seule. Les méthodes des Pitfall traps et monolithe TSBF ont été utilisées pour les prélèvements de la macrofaune du sol. L'effet biocide des plantes a été testé sur mésocosmes. Un total de 51 et 53 familles des espèces a été recensé avec les pitfall traps et les monoliths respectivement. La densité et la biomasse de la macrofaune ont été élevées sur les traitements vesce et associations des plantes. Les résidus du radis ont montré des effets négatifs sur les nuisibles et positifs sur l'ingénieur du sol.
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Autorenporträt
Né le 12 avril 1981 à Mandzissani dans le Sud de la Grande-Comore. Passionné des insectes, après mon BAC j'étais partis à Madagascar pour étudier l'Entomologie dont j'ai obtenu mes diplômes de Maîtrise et de DEA en 2008 et 2011 à l'Université d'Antananarivo. Retourné aux Comores, j'ai intégré un laboratoire de recherches dont je continue ma thèse.