En décrivant les effets des violences conjugales sur la vie affective des enfants en famille, il découle que la plupart des enfants soit 96,5% ont déjà subi des violences domestiques au sein de leurs ménages. une probabilité de p inférieur à 0,05, d'où la distribution est significative. de ceci l'auteur de cet ouvrage conclu que la violence domestique et la fuite du toit paternel sont dépendantes. en essayant d'identifier les effets psychologiques des violences conjugales sur les enfants, la plupart soit 94% ont déjà subi des abus verbaux au sein de leurs ménages, ces enfants vivent une vie anxieuse, de désespoir, d'indifférence, de soucis, d'isolation, de stress, d'angoisse...