Rentré de Salonique le 13 mai 1917 avec le paludisme, Eugène Tavernier retrouve à Paris sa femme et son fils, mais les premiers bombardements sur la capitale vont à nouveau bouleverser la vie du couple.
Henriette est enceinte et comme des milliers de Parisiens qui fuient la capitale et une possible avancée allemande, elle quitte Paris avec sa soeur et leurs deux enfants pour se réfugier à Pau.
À nouveau séparés, les époux reprennent leur échange de lettres. Henriette vit mal cet exil dans une ville triste où tout manque tandis que sa soeur craint le pire pour sa maison de Château-Thierry qui est sous le feu des combats.
Eugène, qui travaille comme infirmier auxiliaire à l'Institut Pasteur expédie colis et malles à sa femme et gère les affaires du couple comme il peut. Il ne rejoint sa femme à Pau, en train de nuit, que pour de rares permissions, de trois jours tout au plus. Ses lettres, dans les quelles il se raconte avec humour constituent un témoignage passionnant de la vie parisienne en cette année 1918 où la guerre peut basculer d'u moment à un autre.
Finalement Henriette accouchera d'une petite fille, Marie Louise et ne retrouvera Paris qu'en octobre. Ainsi s'achèvent ces années de douloureuse séparation entre les époux en même temps que leur correspondance, si précieuse sur ces années de guerre.
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Henriette est enceinte et comme des milliers de Parisiens qui fuient la capitale et une possible avancée allemande, elle quitte Paris avec sa soeur et leurs deux enfants pour se réfugier à Pau.
À nouveau séparés, les époux reprennent leur échange de lettres. Henriette vit mal cet exil dans une ville triste où tout manque tandis que sa soeur craint le pire pour sa maison de Château-Thierry qui est sous le feu des combats.
Eugène, qui travaille comme infirmier auxiliaire à l'Institut Pasteur expédie colis et malles à sa femme et gère les affaires du couple comme il peut. Il ne rejoint sa femme à Pau, en train de nuit, que pour de rares permissions, de trois jours tout au plus. Ses lettres, dans les quelles il se raconte avec humour constituent un témoignage passionnant de la vie parisienne en cette année 1918 où la guerre peut basculer d'u moment à un autre.
Finalement Henriette accouchera d'une petite fille, Marie Louise et ne retrouvera Paris qu'en octobre. Ainsi s'achèvent ces années de douloureuse séparation entre les époux en même temps que leur correspondance, si précieuse sur ces années de guerre.
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