Les choix d'investissement aident à maximiser la création de valeur. On voit à partir de là que les investisseurs en équilibre ont des portefeuilles d'actifs risqués, qui sont combinés avec des actifs sans risque dans des proportions différentes. (Moenninghoff, et al. 2015). Plus précisément, selon le MEDAF, il doit être proportionnel au taux d'intérêt sans risque (correspondant à la durée de la période d'investissement) et à la différence entre le taux de rendement attendu du portefeuille de marché et le rendement du marché. Cependant, les investisseurs à long terme sont devenus une espèce rare et divers facteurs (économiques, réglementaires, fiscaux) se sont avérés n'avoir aucune incitation. Trois scénarios types sont à cet égard envisageables (Lemoine et Pavot, 2009), dans l'ordre de leur caractère déplaisant: (a) « trou d'air », (b) « effet de marché » sans impact durable sur le taux de croissance, (c) effet sur le niveau et le taux de croissance. La gestion stratégique des investissements lie étroitement stratégie, prise de décision et moyens. L'investissement est l'une des décisions qui mérite de nouvelles recherches pour « s'ouvrir » de manière originale (Mintzberg et al.).