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Au cours des dernières décennies, la croissance en nombre et en taille des banques islamiques à travers le monde, a généré un intérêt à l'évaluation critique et détaillée de ses opérations. Ces opérations se fondent sur le principe de l'interdiction de l'intérêt, de l'incertitude, de la spéculation et du marché secondaire de la dette. Elle favorise les activités créatrices de valeur ajoutées se rattachant à la sphère réelle avec la prise de risque comme une condition nécessaire de réalisation des profits. Nous présenterons une illustration modélisée des niveaux des taux de partage des profits…mehr

Produktbeschreibung
Au cours des dernières décennies, la croissance en nombre et en taille des banques islamiques à travers le monde, a généré un intérêt à l'évaluation critique et détaillée de ses opérations. Ces opérations se fondent sur le principe de l'interdiction de l'intérêt, de l'incertitude, de la spéculation et du marché secondaire de la dette. Elle favorise les activités créatrices de valeur ajoutées se rattachant à la sphère réelle avec la prise de risque comme une condition nécessaire de réalisation des profits. Nous présenterons une illustration modélisée des niveaux des taux de partage des profits ou des pertes à fixer dans les contrats Moudaraba et Moucharaka (les conditions contractuelles optimales) pour que la banque islamique soit compétitive et gagne au moins ce que gagne une banque conventionnelle. Sous quelles conditions les banques islamiques peuvent attirer des entrepreneurs qui ne sont pas véhiculés que par des motifs religieux et les inciter à opter pour un financement islamique. La logique de conception d'un contrat participatif pour parvenir à la maximisation bien être en commun sera abordé ainsi qu'une modélisation de la moucharaka dégressive en asymétrie d'information.
Autorenporträt
Elmelki Anas, Docteur en Sciences de Gestion enseignant chercheur en finance à l¿Université de Gafsa Tunisie depuis 2006, Directeur de ISAM Gafsa depuis 2015, il a été chef du département finance à l¿ISAEG, il est membre de la commission nationale sectorielle des sciences de gestion. Il est reviewer de trois journaux et a publié plusieurs articles.