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Cette étude examine si les impôts ont joué un rôle dans la promotion du développement économique dans les démocraties africaines. Cette notion se justifie par le fait que de nombreux théoriciens ont démontré l'existence d'un lien de causalité entre la démocratie, le développement économique et la fiscalité, arguant que les institutions démocratiques favorisent le développement économique grâce à des politiques fiscales efficaces. Dans les pays non démocratiques, les impôts sont usurpés par les autocrates qui les utilisent à leurs propres fins au lieu de les redistribuer pour la fourniture de…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude examine si les impôts ont joué un rôle dans la promotion du développement économique dans les démocraties africaines. Cette notion se justifie par le fait que de nombreux théoriciens ont démontré l'existence d'un lien de causalité entre la démocratie, le développement économique et la fiscalité, arguant que les institutions démocratiques favorisent le développement économique grâce à des politiques fiscales efficaces. Dans les pays non démocratiques, les impôts sont usurpés par les autocrates qui les utilisent à leurs propres fins au lieu de les redistribuer pour la fourniture de biens publics, ce qui aurait à son tour un impact positif sur le développement économique. En conséquence, afin de tester ce phénomène, une évaluation comparative a été réalisée en s'interrogeant sur le montant des impôts collectés dans les démocraties et les non-démocraties africaines, et sur la part de ces impôts dans leur PIB. Le PIB est pris comme variable dépendante pour montrer l'ampleur du taux de développement économique d'un pays. L'hypothèse qui en a découlé visait donc à déterminer si l'augmentation progressive des impôts sur une période de plusieurs années entraînait un développement économique.
Autorenporträt
Lyla Latif ist eine in Kenia ansässige Prozessanwältin und Dozentin für Rechtswissenschaften an der Universität von Nairobi. Sie hat einen LLB und LLM in öffentlichem Finanz- und Finanzdienstleistungsrecht von der Universität Nairobi und einen MA in Entwicklung und Governance von der Universität Duisburg-Essen. Außerdem hat sie eine Ausbildung in internationaler Besteuerung an der Universität Münster absolviert.